Les actions d’optimisation

Investir son argent

Les moyens d'investir son argent pour obtenir des revenus différés ne manquent pas, mais lesquels choisir ?

Comment investir son argent pour percevoir des revenus futurs ?

Pour préparer sa retraite ou augmenter son train de vie, des solutions existent afin de compléter ses revenus de façon différée, et pas seulement via l'immobilier. Découvrez tous les moyens d'y parvenir !

Vous envisagez d'investir votre argent pour préparer votre avenir, mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Il existe de nombreuses solutions qui permettent de générer des revenus dans le futur, avec un horizon de temps parfois très différent, et un fonctionnement spécifique. Pour s'y retrouver et faire le bon choix, il est nécessaire de répondre à certaines questions et de sélectionner les solutions d'investissement les plus en adéquation avec ses besoins et son profil. Tout ce qu'il faut savoir à ce sujet.

Une flèche jaune en bois qui indique une croissance positive lorsqu'on investit son argent

Pourquoi investir son argent maintenant afin d'obtenir un revenu plus tard ?

Face aux aléas de la vie et à de faibles pensions de retraite, anticiper son avenir financier s'avère être une nécessité pour préserver son pouvoir d'achat en toutes circonstances. Dès aujourd'hui, il est possible d'investir son argent pour obtenir un complément de revenus dans le futur. Cette notion d'anticipation est cruciale en matière d'investissement, et permet également de profiter de certaines opportunités, à commencer par l'effet de levier permis par l'endettement.

À quel moment commencer à penser à l'avenir ?

Investir son argent pour obtenir un complément de salaire dans le futur peut se faire à tout âge, dès le début de la vie active. Le meilleur moment pour se lancer se situe d'ailleurs au cours de sa carrière professionnelle, en raison d'un niveau de revenus plus élevé que lors du passage à la retraite. Une notion importante doit être introduite : le taux de remplacement. Cette donnée correspond au pourcentage des revenus d'activité qui seront perçus à la retraite. Selon EOR, un cabinet de consultants en retraite qui exerce depuis 25 ans, le taux de remplacement moyen est le suivant :

  • 75 % dans le secteur public ;
  • 50 % dans le secteur privé.

Autrement dit, et de façon très simplifiée, un salarié du privé qui a gagné en moyenne 2 000 euros par mois au cours de sa carrière touchera une pension de retraite de 1 000 euros.

Une femme avec une chemise à carreaux qui fait ses factures avec une calculette

Pour faire face à une baisse notable de revenus lors de la retraite, concrétiser un investissement aujourd'hui pour en tirer des profits demain prend tout son sens. L'anticipation est la clé de la réussite d'une telle opération, et permet de limiter les effets négatifs du passage à la retraite sur la gestion du budget d'un foyer. Par exemple, des revenus fonciers ou une rente viagère peuvent permettre de compenser cette baisse, en partie voire en totalité. Cette stratégie patrimoniale peut également permettre de tirer des revenus avant son passage à la retraite, et ainsi d'accroître son niveau de vie ou de faire face à des difficultés personnelles ou professionnelles : un divorce, une perte d'emploi, un changement de carrière professionnelle, etc.

Anticiper permet de profiter de l'effet de levier du crédit

Une main arrêtant des kapla qui tombent

Au-delà des avantages évoqués ci-avant, l'anticipation a une autre vertu importante : elle permet de profiter de l'effet de levier lié à l'endettement. Ce terme désigne le fait d'utiliser le crédit pour accroître sa capacité d'investissement, en particulier dans l'immobilier locatif. Au lieu d'immobiliser son épargne personnelle, l'emprunteur utilise ainsi l'argent de la banque pour réaliser des acquisitions en vue d'en tirer un profit plus tard, lorsque le remboursement de l'emprunt arrivera à échéance. L'objectif final est d'emprunter à un taux d'intérêt plus faible que celui du rendement de l'investissement réalisé.

Bande de jeunes qui rigolent

Notez qu'il est d'autant plus opportun d'accéder au crédit immobilier lorsque l'on est jeune. Les coûts associés peuvent ainsi être limités, notamment en ce qui concerne l'assurance emprunteur, dont le montant augmente avec l'âge de l'assuré. Le bénéfice à emprunter de l'argent au cours de sa vie active pour investir cet argent est ainsi maximisé, avec un coût du crédit limité. Malgré un contexte de remontée des taux d'intérêt, le niveau des conditions d'emprunt reste encore favorable. Une opportunité qui peut également être saisie pour acheter sa résidence principale ou une résidence secondaire.

Investir dans l'immobilier pour avoir un revenu futur

Même s'il n'est pas le seul moyen d'investir son argent pour avoir des revenus futurs, l'immobilier locatif est souvent le premier type d'investissement mis en avant dans le cadre de cette stratégie patrimoniale. Il faut dire qu'il a des avantages indéniables, et permet notamment de profiter de l'effet de levier de l'endettement. Ce qu'il faut savoir pour mettre toutes les chances de son côté et obtenir un complément de salaire de façon différée.

Comment investir son argent dans l'immobilier ?

Une maison blanche

Devenir propriétaire d'un ou plusieurs logements loués est un excellent moyen d’investir son argent et de compléter ses revenus dans le futur grâce aux loyers perçus. Une maison, un appartement, voire un immeuble peuvent ainsi être achetés dans le but de générer des ressources supplémentaires. Concrètement, un investissement dans l'immobilier locatif peut prendre la forme suivante :

  • Une location vide (ou nue) ;
  • Une location meublée ;
  • Une location saisonnière (gîte de France, AirBnb, etc.).

Les contraintes liées à ces types de baux sont différentes. Ainsi, la location meublée requiert de fournir une liste précise de biens au sein du logement loué, moyennant un loyer généralement plus élevé qu'en location vide. Ce type de bail concerne généralement des petites surfaces telles que des studios ou des T2. De son côté, la location saisonnière engendre une gestion locative bien plus importante, mais des revenus potentiellement plus élevés. Cela nécessite de privilégier un secteur touristique, où les prix du foncier sont parfois plus élevés. Et pourquoi pas récupérer ce bien pour en faire sa résidence secondaire lors de la retraite ? En fonction du lieu d'investissement privilégié, du temps disponible et du type de bien acheté, il faut arbitrer et se faire un avis entre ces différents types de baux.

Un jeu de cartes

L'investissement dans l'immobilier locatif peut aussi avoir une double vocation : générer des revenus futurs tout en permettant de réduire ses impôts. À cet effet, plusieurs dispositifs de défiscalisation existent, tant sur les logements neufs que sur des biens immobiliers anciens, par exemple :

  • La loi Pinel ;
  • Le déficit foncier ;
  • La loi Malraux ;
  • La loi Censi-Bouvard ;
  • Le dispositif Denormandie ;
  • Etc.

Quels sont les critères pour réussir son achat immobilier ?

En matière d'investissement locatif, le choix ne manque pas. Un avantage qui peut aussi semer le trouble pour certains investisseurs. Appartement, maison, résidence service… quel que soit le type de bien privilégié, certaines règles sont communes et doivent être suivies pour réussir son achat immobilier. Le critère numéro un ? S'il n'y en a qu'un à retenir, c'est celui-ci : l'emplacement. La ville, le quartier et la localisation très précise du logement sont déterminants. Un bon emplacement permettra de louer plus vite, plus facilement et au meilleur prix, par rapport à un emplacement de second choix.

Une femme donnant des clés à un couple
Une personne tenant un plan dans ses mains

Pour se faire une idée précise de la qualité de l'emplacement d'un logement, certains critères peuvent être pris en compte, notamment :

  • L'évolution démographique de la population dans la ville;
  • Le type de population : part d'étudiants, d'actifs, de familles, de retraités… ;
  • La réputation et la qualité esthétique du quartier ;
  • La distance entre le bien et les transports en commun ;
  • La présence de services à proximité (commerces, bureau de tabac…) ;
  • Etc.

Pour les données chiffrées liées à la démographie, le site de l'Insee regorge d'informations capitales sur l'évolution de la population et la typologie de locataires potentiels.

Un homme regardant un document avec une loupe

En second lieu, la qualité du bien doit être examinée à la loupe. Dans l'ancien, une visite permet de se faire une bonne idée de celle-ci. Dans le neuf, il faudra examiner minutieusement les plans et les croquis fournis par le promoteur immobilier, ce qui nécessite une bonne capacité à se projeter. Dans tous les cas, il est essentiel d'effectuer plusieurs visites et/ou de contacter plusieurs promoteurs afin de se faire un avis et de choisir le meilleur programme ou le meilleur logement grâce à une comparaison soigneuse de plusieurs biens aux caractéristiques proches.

Bon à savoir : La possibilité de réduire son impôt sur le revenu grâce à un dispositif de défiscalisation ne doit pas occulter la qualité du bien, son emplacement, et son prix de vente.

Quel statut choisir pour investir dans le locatif ?

Investir son argent dans l'immobilier locatif implique de répondre à un certain nombre de questions. Celle du statut à prendre pour réaliser cette acquisition a une importance capitale, notamment eu égard aux impacts fiscaux que cela peut avoir. S'il est possible de réaliser un achat en nom propre, d'autres options existent aussi, notamment via :

  • Une SCI ;
  • Une SARL de famille.
Un couple âgé qui rigole

Par rapport à une acquisition en nombre propre, la création d'une SCI nécessite d'acheter au moins à deux. Elle permet de distinguer le patrimoine personnel de celui qui sera inclus dans cette nouvelle structure juridique. En revanche, il est impossible de réaliser de la location meublée en SCI si cette activité est habituelle, c'est-à-dire récurrente d'une année sur l'autre et de longue durée. Au régime de base, la SCI est soumise à l'impôt sur le revenu, mais elle peut opter pour l'impôt sur les sociétés.

Autre option : investir son argent via une SARL de famille, en optant pour une imposition à l'impôt sur le revenu, et non à l'impôt sur les sociétés. Avec une SARL de famille, il est possible de lever la contrainte liée à la location meublée en SCI et de prendre le statut de LMNP.

Comment calculer le rendement locatif ?

Pour connaître la rentabilité d'un investissement locatif, plusieurs critères sont à prendre en compte. Il est ainsi indispensable de calculer le rendement locatif avant d’investir son argent dans l’immobilier. Le rendement locatif brut est le plus simple à déterminer. Il s'agit d'appliquer la formule de calcul suivante : 

Rendement locatif brut = (Loyer annuel/Prix d'achat) x 100

Le prix à utiliser est le prix global, incluant tous les frais d'acquisition tels que les frais d'agence et les frais de notaire. En règle générale, un bon rendement locatif brut se situe entre 5 et 10 %. 

En suivant, il est possible de calculer le rendement locatif net, c'est-à-dire déduction faite des charges à payer. Il s'agit de retrancher ces frais au montant du loyer annuel. La formule est donc la suivante :

Rendement locatif net = [(Loyer annuel – charges)/(Prix d'achat)] x 100 

Une femme faisant ses comptes avec une calculette

Parmi les frais à prendre en compte, voici les principaux : 

  • Coût du crédit (assurance emprunteur + intérêts) ;
  • La taxe foncière ;
  • Les charges de copropriété non-récupérables sur le locataire ;
  • Les frais de gestion locative ; 
  • L'assurance contre les loyers impayés ;
  • L'assurance propriétaire non-occupant.

Bon à savoir : On peut aussi parler de rendement net-net lorsque l'on prend en compte l'impact fiscal d'un investissement locatif sur la Tranche marginale d'imposition du foyer, ainsi que sur la CSG et la CRDS. L'économie d'impôt générée par un dispositif de défiscalisation peut aussi être intégrée au calcul.   

Les 3 autres moyens de compléter ses revenus de façon différée

L'immobilier n'est pas l'unique solution d'investissement pour compléter ses revenus plus tard ou à la retraite. D'autres moyens existent et peuvent permettre de diversifier ses placements en dehors des traditionnels livrets d’épargne, tout en profitant des avantages propres à chaque dispositif et d'une meilleure performance financière.

Des post-it Plan A, B et C sur des classeurs

1. Le Plan d'Epargne Retraite (PER)

Comme son nom l'indique, le Plan d'Epargne Retraite (ou PER) est un produit spécifiquement conçu pour compenser la baisse de revenus à la fin de la vie active. Proposé depuis le 1e octobre 2019, ce jeune produit d'épargne a remplacé le très célèbre PERP et le Madelin. Le PER individuel est un placement qui s'adresse à tous, et qui permet de bénéficier d'un avantage fiscal intéressant : les sommes versées peuvent être déduites du revenu imposable, sous réserve de respecter un plafond. Cette somme est déterminée pour chaque foyer fiscal en retenant le résultat le plus élevé des deux calculs suivants :

  • 10 % des revenus professionnels de l'année précédente, avec une déduction maximale de 32 909 euros ;
  • Un forfait de 4 114 euros de déductibilité.
Deux jeunes femmes qui regardent des graphiques papiers

Le PER permet de faire d'une pierre deux coups : faire baisser le montant de son impôt sur le revenu, et faire fructifier un capital jusqu'à la retraite. La gestion de ces placements peut être libre, conseillée par un gestionnaire de patrimoine ou "pilotée". Dans ce dernier cas, le gestionnaire s'occupe d'effectuer directement les arbitrages nécessaires pour valoriser les sommes d'argent investies. 

Un homme qui sourit en travaillant

Lors du passage à la retraite, il est alors possible de récupérer son argent en rente et/ou en capital, avec une fiscalité différente selon le choix effectué. En-dehors de cet événement, le PER offre les possibilités de retrait anticipé suivantes : 

  • Invalidité du titulaire, d'un enfant ou de son conjoint marié ou pacsé ;
  • Décès du conjoint marié ou pacsé ;
  • Fin des droits au chômage ;
  • Surendettement ;
  • Liquidation judiciaire pour les indépendants ;
  • Achat de la résidence principale.

Bon à savoir : Au-delà du PER individuel, deux autres volets existent liés à l’épargne entreprise : le PER d’entreprise collectif et le PER d’entreprise obligatoire. Pour pouvoir alimenter ces contrats, il faut être salarié d'une société les proposant, parfois depuis plus de 3 mois. 

2. L’assurance-vie

L’assurance-vie est l’un des contrats d’épargne favori des Français. Accessible avec seulement quelques centaines d’euros, ce support peut permettre de diversifier ses supports de placement avec deux grandes catégories d’actifs : 

  • Les fonds euros à capital garanti ;
  • Les unités de compte.
Une famille avec deux petits garçons qui rigole sur un canapé

De la même façon que les livrets d’épargne sécurisés tels que le Livret ou le LDDS, les fonds euros ont vu leur rendement diminuer au fil des ans. Pour espérer une meilleure rentabilité, seules les unités de compte restent pertinentes, mais ne présentent pas de garantie en capital. Toutefois, un investissement diversifié sur plusieurs unités de compte différentes et envisagé à moyen ou long terme permet de réduire la volatilité liée aux marchés financiers. Il peut également être intéressant de se pencher sur d’autres supports, par exemple les SCPI, qui sont décorrélés des aléas de la bourse.

Dans l’optique d’obtenir des revenus futurs, investir son argent dans une assurance-vie permet de profiter d’avantages fiscaux sur les gains générés. En effet, après 8 ans de détention, un abattement est appliqué sur ces sommes à hauteur de :

  • 4 600 euros pour une personne seule ;
  • 9 200 euros pour un couple soumis à une imposition commune.

3. Les placements sur les marchés financiers

Une conseillère pointant les éléments à remplir sur un contrat à un homme

Bien que non étiquetés "retraite", d'autres produits financiers peuvent permettre de valoriser un capital en vue d'en tirer des revenus plus tard. C'est par exemple le cas des contrats suivants : 

  • Le PEA (Plan d'épargne en actions) ;
  • Le compte-titres ordinaire.

Ces contrats ont un avantage majeur par rapport aux différents PER : l'argent peut être récupéré à tout moment, sans attendre le passage à la retraite. En revanche, il faudra se passer des réductions d'impôt sur le revenu accordé par les produits spécifiquement dédiés à la retraite. D'autres avantages fiscaux sont toutefois prévus avec des abattements et des exonérations de fiscalité sur certaines plus-values réalisées sur un PEA.

Pour être viables à long terme, ces produits financiers doivent suivre une logique de diversification en multipliant les actions, les obligations, les SCPI ou les OPCVM détenus, afin d'en diminuer les risques. Réaliser des arbitrages peut aussi permettre de s'adapter aux évolutions des marchés financiers, de saisir des opportunités ou d'adapter son profil de risque en fonction de l'horizon de départ à la retraite. Alors qu'il est possible de prendre des positions plus risquées en bourse avec un horizon lointain afin de générer un meilleur rendement, il peut être pertinent de sécuriser ses avoirs à l'approche du départ à la retraite. 

Bon à savoir : Au vu de la faiblesse des rendements actuels, les livrets d'épargne doivent essentiellement servir de support à une épargne de précaution.

Les questions à se poser avant de se lancer dans la construction de son avenir

Investissement immobilier locatif, PER, assurance-vie… quel que soit le support d'investissement, il est nécessaire de se poser les bonnes questions avant de se lancer. La réalisation de cet exercice est non seulement très instructive, mais permet surtout de faire les meilleurs choix pour investir son argent en tenant compte de sa situation financière, de ses objectifs et de ses appétences. 

Une femme pensive et souriante avec son ordinateur qui regarde par la fenêtre

Où en suis-je de la construction de mon patrimoine ?

Quel est mon niveau de patrimoine actuel ? Suis-je déjà propriétaire de ma résidence principale, d'une résidence secondaire, d'un investissement locatif ? Comment est placée mon épargne ? Quel est mon niveau de liquidités ?

Une femme qui monte des marches

Construire son patrimoine est un projet de vie qui peut se débuter à tout moment. La logique reste identique quel que soit son budget ou niveau de patrimoine préexistant. Etudiants, jeunes actifs, familles, retraités… tout le monde a la possibilité de construire son patrimoine au travers de plusieurs grandes étapes :

  • Réaliser ses premiers pas : se constituer une épargne de précaution, acheter son premier bien immobilier..;
  • Optimiser son patrimoine : baisser son imposition, améliorer la rentabilité de ses investissements, etc. ;
  • Préparer sa retraite ou sa transmission : acheter une résidence secondaire, prévoir un capital pour ses proches, etc.

Quelles ressources pour quelles ambitions ?

Quel est mon horizon d'investissement en termes de temps ? Dans combien de temps vais-je prendre ma retraite ? Quel est le niveau de revenus complémentaires que je vise ? Quelles sont les contraintes d'investissement que je peux accepter ? 

Une calculette et des factures

Tous les investissements n'ont pas les mêmes caractéristiques, au contraire. Faire un point sur ses attentes permet de choisir les bons supports, notamment en fonction de son horizon de temps. Pour un jeune actif qui doit encore patienter 40 ans avant de prendre sa retraite et un cadre en fin de carrière professionnelle qui va partir dans 5 ans, les solutions patrimoniales pour compléter ses revenus dans le futur peuvent beaucoup changer. Le niveau de revenu actuel, et celui espéré dans le futur, doit aussi faire partie de l'équation, de même que la possibilité ou non d'accéder à l'emprunt, et à quel niveau. 

Quel est mon profil d'investisseur ?

Y-a-t-il des thématiques d'investissement qui m'inspirent ? Quelles sont celles qui m'attirent le moins, et pour quelles raisons ? Quel est le niveau de risque que je suis prêt à accepter ? Ai-je mis en place une stratégie de diversification ?

Une femme qui tient un pantone dans ses mains

En fonction des objectifs d'investissement et du rapport au risque, les profils d'investisseurs sont très variés. L'acceptation d'un certain niveau de volatilité est toutefois indispensable pour espérer de meilleurs rendements pour son épargne. Mais il existe un moyen de limiter la prise de risque : la diversification. Il s'agit là d'un des conseils de l'Autorité des marchés financiers, au même titre qu'un choix rigoureux de ses supports d'investissement et d'un suivi méticuleux des placements réalisés. Diversifier ses placements consiste à investir dans plusieurs domaines différents, par exemple sur de l'immobilier locatif et sur un placement en assurance-vie, mais aussi sur des valeurs différentes, par exemple sur des actions d'entreprises de différentes nationalités, qui exercent dans des secteurs d'activité variés, etc. 

Une femme qui fait un inventaire avec une calculette

Ici, l'idée est de faire un inventaire de ses réalisations et des projets en cours avant d'investir son argent. Cela permet de se situer par rapport à sa démarche d'investissement et à ses objectifs. Ces questionnements sont une étape  nécessaire avant toute démarche d'investissement .  Par le jeu et l'analyse des réponses obtenues, il est possible de consolider son approche et d'optimiser son patrimoine

La démarche d'investissement peut alors s'engager sur de bonnes bases : investir son argent de la façon la plus adaptée, grâce à l’appui éventuel  de professionnels experts, devient accessible et permet alors d’obtenir des revenus futurs.     

Prestation sur mesure

Vous profitez d’une expérience unique et singulière, pour sublimer votre projet patrimonial.

Neutralité

L’accompagnement EVOVI dépourvu de tout parti pris favorise l’impartialité et la confiance.

Autonomie

Cela vous permet de gérer vos ressources de manières efficaces. Vous passez à l’action avec confiance.

Gain de temps

Investir aujourd’hui pour prendre le temps de comprendre, c’est demain aller plus vite pour maitriser son environnement financier.
Ce site utilise exclusivement des cookies fonctionnels. Pour plus d'informations, veuillez vous référer à notre politique de gestion des cookies.

Evovi en France :

Aujourd’hui, avec la standardisation de la visio-conférence, le territoire n’a plus de limite… les seules limites qui existent, sont celles de notre imagination.
Pour autant, l’ambition d’EVOVI, à très court terme, est de positionner au plus près de vos foyers, des praticiens, dont la seule motivation est la qualité de la relation client.